L’Assemblé nationale a ouvert ce mercredi 17 juillet 2019 la discussion sur le projet de loi autorisant la ratification du traité CETA (Accord de libre échange entre le Canada et l’Union Européenne). Le vote aura lieu le 23 juillet.
François-Michel Lambert député, porte-parole de l’UDE, regrette cet accord de libre-échange avec le Canada, pays exportateur, entre autres, de gaz et de pétrole de schiste.
François-Michel Lambert considère que le CETA donne des droits trop importants aux entreprises au détriment des Etats.
Il partage la crainte de l’opinion publique, des consommateurs et des agriculteurs face à l’avènement d’une économie peu respectueuse des normes sanitaires et environnementales. Initiateur de la démarche « Triangle de Provence » de valorisation territoriale, il s’inquiète que le CETA entrave les possibilités de soutenir l’achat local et le développement des économies éco responsables.
« Cet accord de libre-échange appartient au siècle passé et ne répond ni à l’urgence écologique, ni à la nécessité de réduire les inégalités sociales. Il est l’exact contraire de ce qu’il faudrait faire pour apporter des solutions à partir des territoires et du local. Je voterai contre la ratification du CETA, l’urgence n’est pas dans ce type d’accord, elle est dans la construction d’une économie résiliente, de proximité et plus heureuse ! » déclare François-Michel Lambert.
François-Michel Lambert député, porte-parole de l’UDE, regrette cet accord de libre-échange avec le Canada, pays exportateur, entre autres, de gaz et de pétrole de schiste.
François-Michel Lambert considère que le CETA donne des droits trop importants aux entreprises au détriment des Etats.
Il partage la crainte de l’opinion publique, des consommateurs et des agriculteurs face à l’avènement d’une économie peu respectueuse des normes sanitaires et environnementales. Initiateur de la démarche « Triangle de Provence » de valorisation territoriale, il s’inquiète que le CETA entrave les possibilités de soutenir l’achat local et le développement des économies éco responsables.
« Cet accord de libre-échange appartient au siècle passé et ne répond ni à l’urgence écologique, ni à la nécessité de réduire les inégalités sociales. Il est l’exact contraire de ce qu’il faudrait faire pour apporter des solutions à partir des territoires et du local. Je voterai contre la ratification du CETA, l’urgence n’est pas dans ce type d’accord, elle est dans la construction d’une économie résiliente, de proximité et plus heureuse ! » déclare François-Michel Lambert.